Gioconda (La) (2 Dvd)
H**D
Discovered a GREAT piece of music!
A great opera. Didn't know a thing about it... took a chance, and this is a GREAT OPERA! You've got to read the description of the acts, and watch it a couple of times. Crank up the volume on this one... IT'S THAT GOOD!!!
P**M
Adequate but Ultimately Disappointing
With the cast list including Domingo and Marton and the location of the production (Vienna) I was expecting a brilliant performance of this opera but the truth is that this DVD presents a rather flat and ultimately somewhat disappointing recording. It seems that some of the problems are with the recording rather than the performance itself. It is clear that all the principals are in very good voice and there are some extremely dramatic and effective moments, but overall the performance does not consistently deliver what should be an outstanding production. The recording does not catch the vocal contributions equally across the stage and depending where the performers are located the sound is often somewhat muted. What the recording does capture unfortunately too well is an extremely annoying voice mumbling in the background. Its not clear who this is, but it appears to be the prompt giving feed lines. I dont think it is the conductor (which can be a problem with some opera conductors, especially on older recordings). Whoever it is, however, it is very distracting at some of the quieter more dramatic moments in particular. The sets are also curiously flat in appearance - obviously something to do with the way they are constructed and painted. They are clearly not flat (apart from the ship) but give a very flat appearance even when the movement of the performers on the stage makes it clear that there really is depth there. The chorus does not really convey the full jollity of carnival time in Venice and seem to be giving a somewhat half hearted effort at portraying that aspect of the action. Overall then, there are some very good moments and some excellent individual performances but there are too many drawbacks in the production and the recording to make this a particularly recommendable DVD. It is worth seeing but there is plenty of scope for better productions.
L**N
Impressionnant, riche en émotion.
Je connais beaucoup d’opéras, je pense que c’est celui-ci qui m’impressionne le plus par sa force dramatique continue, la puissance de l’expression des sentiments : l’amour, mais surtout la haine, la vengeance, la mort, tout est bien traduit dans ce spectacle filmé au Liceu. Voilà vraiment un opéra, mélodrame romantique, qui vous épuise d’émotion, qui vous prend au cœur du début à la fin, pendant près de 3 heures, de manière irrésistible, depuis l’arrivée de la Cieca et son air du Rosaire, formidablement expressif, jusqu’au terrible « suicidio » de la Gioconda.Visuellement, dans des décors simples mais représentant bien Venise, on a une bonne mise en scène soulignant la qualité des costumes où le gris et le rouge dominent, avec des mouvements de foule bien réglés. Le point d’orgue est bien entendu la superbe danse des heures, pleine de grâce et de couleurs carnavalesques dans le cadre de la Ca d’Oro. C’est somptueux et la danseuse étoile est exceptionnelle, et si belle...C’est le seul moment de détente.Musicalement, c’est une œuvre magnifique, et l’orchestre est très bien dirigé avec précision et lyrisme par un chef qui recherche l’équilibre et qui demeure très attentif à ses interprètes. Il anime un excellent chœur qui donne des moments de grande musicalité comme dans la barcarolle qui ouvre le second acte. Il permet de souligner la puissance dramatique sans emphase mais avec précision comme dans l’extraordinaire final du dernier acte. Il en fait un véritable bouquet musical.La distribution, qui comporte les 6 voix, ce qui est très rare, est globalement d’un bon niveau de qualité, à une exception, E. Fiorillo bien pauvre mezzo, voix faible qui ne peut dominer l’orchestre, manque de sens mélodique, elle déséquilibre les duos. Au contraire Eve Podles nous donne une composition de la Cieca absolument extraordinaire, visuellement et vocalement. Elle vous fait frissonner dès le premier acte.C. Guelfi incarne le délateur, le fourbe, le méchant Barnaba, pire que Iago, avec beaucoup d’engagement même si sa voix manque par moments un peu de profondeur. C. Colombara a une belle voix de basse mais manque un peu d’expression. Enfin Richard Margison est un ténor très honorable, (mais il faut oublier P. Domingo), il chante très bien l’air du second acte « Cielo e mar » et recueille une ovation méritée.Enfin, la Gioconda, ce rôle épouvantable à vivre et à chanter, ce rôle si difficile qui avait révélé Maria Callas en 1947 à Vérone, qu’ensuite elle n’aimait pas donner, où il faut attendre le dernier acte pour exprimer toute sa mesure, mais quelle mesure, jusqu’à ce cri « Suicidio » qui descend d’un octave et vous touche au cœur, Deborah Vogt l’assume avec brio, et il faut saluer la performance qui est exceptionnelle. Je ne veux pas la comparer à Eva Marton, elle a une tessiture différente, avec des graves et des aigus somptueux, un medium un peu moins marqué. Elle nous offre une puissance dramatique rare et très belle, elle vous épuise mais que c’est beau dans ce décor final lugubre.Un très beau défilé final vous permet de reprendre votre respiration et vos esprits.
K**E
Hervorragende Aufführung
Ponchielli hat nur eine heute noch beachtete Oper komponiert, La Gioconda, diese ist ihm aber umso besser geraten. Die Oper wurde vor allem durch Maria Callas wieder populär gemacht. Sie basiert auf einer sehr emotionalen, mitreissenden Liebesgeschichte, die ursprünglich aus der Feder von Victor Hugo stammtDie vorliegende Aufnahme ist ausgezeichnet gelungen. Dies beginnt schon bei der Besetzung. Placido Domingo (Enzo)zu loben, wäre Eulen nach Athen tragen, aber die weiteren Rollen sind ebenfalls sehr gut besetzt. Dies beginnt bei Eva Marton, deren Interpretation der Gioconda herausragend ist. Aber auch der Bariton-Bösewicht (Barnaba von Matteo Manuguerra gespielt)ist Weltklasse sowohl in gesanglicher, als auch in schauspielerischer Hinsicht. Last but not least ist auch die zweite Frauenrolle der Laura mit Ludmila Semtschuk bestens besetzt.Die traditionelle Aufführung der Wiener Staatsoper unter Adam Fischer ist zwar nicht mehr ganz neu (1986), aber immer noch sehr empfehlenswert. Der Bildschnitt ist sehr gut gelungen. Auffällig v.a. die Bildüberlagerungen mit Profilaufnahme der Hauptdarsteller und dem Chor.Einen kleinen Wermuthstropfen gibt es dennoch. Warum um Himmels Willen hat der Tonmeister die Stimmen (aus dem Publikum?, Orchester?) nicht bemerkt, die ab und zu mit aufgenommen wurden und den Gesang stören! Wahrlich ein Anfängerfehler, der nicht in das ansonsten ausgezeichnete Gesamtbild passt.Dies sollte aber nicht von einem Kauf abhalten. Denn die vorliegende Gioconda ist ein absolutes "Muss" für jeden Opernfreund.
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