Birdman - The Unexpected Virtue of Ignorance

This is not a review for the movie, but for the blu-ray disc released in India by Excel. Its the censored version where at least 4 scenes are zoomed or cropped. This really messes up the Academy Award winning cinematography by Emmanuel Lubezki. Some Excel releases are exact replica of the US discs which are uncut and some are cut like this or X-men days of a future past. Its not that any dialogue is cut and even the language remains uncensored, but still its disappointing not to get the original version. The Bonus Features are all there, the 5.1 DTS HD-MA English soundtrack and the picture quality are great. There is no Hindi audio, just Hindi subtitles.Also the disc I received had fingerprints on it and even some scratches. I have also noticed this in other Excel blu-rays - Gone Girl, How to train your dragon 2, Kingsman the secret service and Kung fu Panda 3. I had the Kingsman copy replaced as it was skipping in some scenes. This one plays fine now, but I am not sure if after a year it will still play fine. Some scenes on my How to train your dragon 2 blu-ray don't work now. Excel should pay more attention on the packaging and the quality of the discs.If you are a fan of the movie, import it. Avoid this release by Excel.

Audio and Video quality is top-notch. There are a handful of extra features present in the bluray which make the make the movie-watching experience a wholesome one.Coming to the movie, it throbs with a volcanic energy, thanks to the long continuous scenes employed by the director. It gives the film a unique feel. You feel you are right in the middle of the action! All the actors have done a splendid job. It is worth your time.

Good film about a has been actor who is trying to reinvent himself for his own satisfaction.Very well acted by all characters,but sometimes the language tends to be a bit explicit .The ending is probably the climax--- it probably could not have ended in any other way.

The movie is a classic - specially the way it has been shot in a perceived single shot sequence.

Nice

Very good product.

Proud to have this movie in my collection. Just loved the movie.

"Birdman" was the big winner at the 87th Academy Awards. Not only did it win best picture, but the film also won for best director, best cinematography, and best screenplay.What made the four-time Oscar winner the best movie of the year?For starters, it's an incredibly self-aware film that stars Michael Keaton as a washed-up actor best known for portraying a superhero. Keaton's performance is bold, unapologetic and, best of all, just plain entertaining. The role is quite complex, as Thomson seems to fade in and out of reality. His "Birdman" character seems to have crossed over into his real life and manifests itself in stressful moments.Besides Keaton, the supporting cast is arguably the film's next greatest asset. Emma Stone, Zach Galifianakis, and Naomi Watts all turn in terrific performances, but Edward Norton steals the show. Norton's take on an over-the-top method stage actor is a breath of fresh air and probably the best performance of his career.Believe me, "Birdman or (The Unexpected Virtue of Ignorance)" is a captivating and ultimately astonishing film. It may ask more questions than it ultimately answers, but you've never seen anything quite like it.I really don't understand the kind of negative reviews warranted towards this masterpiece of a movie. People are comparing it to Superman / Spiderman???! Do research before you buy movies. Such movies may not be everybody's cup of tea but atleast doesn't deserve such atrocious negative reviews.With a top notch blu-ray release which is almost flawless, l would highly recommend this.

LE BLU-RAYLe top de l'image numérique couchée sur 35mm. Des entrailles du théâtre au envolées urbaines le prodige s'accomplit en HD. Top démo d'une image de caractère.LE FILM£Je pourrais garder comme ami quelqu'un qui n'aimerait pas Birdman. À une seule condition. Qu'il reconnaisse le génie de cette oeuvre.Car Birdman n'est pas un film. C'est un prodige. Après une série d'oeuvres-chorale, filmées autour du monde, toutes véritables chemin de croix pour les êtres qui s'y débattent, Inarritu rassemble tous ses démons dans un même lieu. Les entrailles d'un théâtre. La vie, l'amour et la mort embrassés dans un seul mouvement de caméra. Oui, vous avez bien lu. Birdman est un monstre cinématographique. Une valse barzingue aux raccords invisibles. Gigantesque plan-séquence conduit de main de maître par le directeur photo Emmanuel Lubezki le magicien de The Tree of Life, Gravity, Les Fils de l'Homme... (Si j'étais chef-op, je ferais une énorme dépression en sortant de ce film. J'irais garder des chèvres dans le Larzac ou tenter un concours d'entrée dans la fonction publique) Un choix de mise en scène indissociable du propos. Birdman c'est la vie. Tout droit et sans interruption, jusqu'à la fin.Le désespoir virtuose et poli, Birdman maîtrise. On se marre un instant avant d'encaisser une ligne de dialogue à se tirer une balle. Barré, loufoque mais toujours bouleversant. À l'image du plan d'ouverture : un acteur vieillissant, lévitant en slip, au milieu de sa loge. Riggan, star has-been au bord du point de rupture, dont l'increvable célébrité ne repose que sur des succès qu'il voudrait balayer. Ce mec reste "Birdman" mais il est seul et fauché. Depuis déjà bien longtemps. Michael Keaton se livre ici corps et âme au génie d'Innaritu. Grotesque et sublime de l'ouverture au dernier plan du film. Difficile de ne pas saisir la petite part d'autobiographie dans celui qui fut le premier Batman digne de ce nom avant de finir sa carrière au générique de films comme Need for Speed ou le pâle remake de Robocop. Le voici de retour, totalement électrisant, dans le rôle de l'ex super-héros de cinéma, tentant un dernier come-back sur les planches de Broadway.a donc adapté pour la scène le recueil de nouvelles " What we talk about when we talk about love"( Parlez-moi d'amour) Précisons aussitôt que l'auteur des Vitamines du bonheur, mort à la fin des années 80, reste aujourd'hui encore le pape du naturalisme à l'américaine. Une plume sèche et brutale, ayant dessiné, toute sa carrière, les brèves et pathétiques destinées de types ordinaires. Ici, à l'image de l'univers de l'écrivain, les gloires sont fanées et l'aigreur parfume les couloirs du théâtre.- How pathetic we are...- It's not important. You're not important. Get used to it.Le personnage de Keaton a beau être doué de pouvoirs télékinésiques impressionnants, envoyer valdinguer tous les objets à distance, il reste désespérément impuissant et vulnérable. Hanté par le fantôme de sa gloire passée. Riggan ressemble au cinéma d'aujourd'hui. Tentant de se racheter une conduite et de retrouver le fil de l'art après s'être vendu à la Marvelisation du spectacle et des esprits. Ce virus extrêmement contagieux qui mine aujourd'hui le cinéma populaire, accouchant d'oeuvres aussi pyrotechniques que ternes et prévisibles comme des dimanches de pluie.- They love this s***. They love blood. They love action. Not this talky, depressing, philosophical bulls***. Yes. And the next time you screech, it'll explode into millions of eardrums. You'll glimmer on thousands of screens around the globe. Another blockbuster. You are a god. See?Rage et colère alimentent en permanence la quête artistique de Riggan. Alimentées par les profils névrotiques de ses compagnons de scène. Quel bonheur de retrouver le grand et sous-employé Edward Norton (Fight club, 25th Hour) dans un rôle d'égomaniaque à la hauteur de son talent. Surprenante Emma Stone en jeune fille perdue, fraichement sortie de désintox. Intense et fragile Naomi Watts, ici actrice en mal de reconnaissance. Tous, interprètent à la perfection cette drôle, renversante, déprimante et nihiliste partition. Miroir tendu à un système à bout de souffle. Et plus largement, grande leçon d'humilité face à cette irrépressible soif d'amour et de reconnaissance qui nous carbonise comme des oiseaux de feu avant de nous abandonner au bord du rivage, acides et infréquentables, comme des méduses échouées.

Birdman est une excellente critique du monde cinématique et du theatre, à travers le passé des anciennes gloires et celui du snobisme theatrale. Le casting est excellent. michael keaton , vieille gloire dépassé en quête de nouvelle reconnaissance , edward norton, acteur de genie désabusé. Sans oublier emma stone , naomi watts et zach galifianakis qui sont tout aussi excellents. Birdman est tout simplement le revers de tout ce qui peut detruire un acteur, un film ou une piece de theatre...

Le sosie de Julien Lepers trouve un de ses meilleurs rôle dans cet acteur ayant incarné un super héros qui ressemble à Batman, et qui a du mal à discerner la réalité de son passé cinématographique. Des travelling virtuoses et une mise en scène parfaite pour un excellent film.Produit arrivé rapidement; bien emballé.Excellent.

Produit conforme arrivé dans les délais

Un titre imprevisible pour un film a etudier avant premiere vision selon gouts de chaque fan de films deroutant pour sortie du vlassique