In fog-dripping, barren and sometimes macabre settings, eleventh-century Scottish nobleman Macbeth is led by an evil prophecy and his ruthless yet desirable wife to the treasonous act that makes him king. But he does not enjoy his newfound, dearly-won kingship…. Restricted, but all the dialogue is Shakespeare's.
A**.
Not good. That is why no return policy.
Poor shell of DVD (case). The cover printing is not of original enlighten series. Though it is given so. Video gets stuck at chapter 13 and not running further. (Seems as if a duplicate or pirated one)
A**E
DVD disc is not original one.
Nice dvd case, picture quality is good as it is a film of 1948.. But the dvd disc is not original one.so my experience is average..
M**N
Four Stars
Old but gòod one
M**S
Great Films
I am glad I bought this set, two outstanding Orson Welles films on Blu-Ray.However I also angry that inorder to get films like this in the UK we have to buy imports because they have not been released in this country.
K**H
Vorsicht, mehrere Ausgaben!
Orson Welles' Filmversion von Shakespeares düsterstem Drama bedarf keiner Besprechung. Dieser schwarz-weiße Alptraum erzählt die Geschichte des schottischen Usurpators im Stil der damals populären "schwarzen Serie", manchmal nahe am Horrorfilm. Spätere Verfilmungen schmieren dagegen ab.Doch ärgerlicherweise gibt es bei Arthaus zwei verschiedene DVD-Fassungen. Die eine ist die, die in den meisten Rezensionen besprochen wird und die 114 Minuten lange Urfassung (?) enthält. Deren Cover ist zu 3/5 grün und bietet unten einen Ausschnitt eines Fotos von Regisseur und Hauptdarsteller Welles in Königsrobe. Die andere enthält die auf 81 Minuten zusammengestutzte damalige Kinofassung und bietet auf dem Cover das komplette Foto. Etwas verwirrend, wenn dann im Katalog das Cover der Kurzfassung abgebildet wird und die als Entscheidungshilfe zum Kauf dienenden Rezensionen die Langfassung beschreiben! Woran soll man sich dann noch halten?
E**N
Life’s but a walking shadow...
Welles entretient avec Shakespeare une relation au long cours, qui remonte bien avant ses débuts derrière la caméra. Dès l’adolescence, il adapte ses pièces au lycée et propose un guide pour le mettre en scène. Homme de théâtre, puis de radio, Welles a toujours accompagné ce modèle incontournable, fasciné par le bruit et la fureur qui émane de sa monstrueuse comédie humaine.Le tournage de Macbeth se fait à un rythme démentiel : bouclé en 21 jours, Welles dormant deux heures par nuit, il reflète bien les méthodes de travail de son créateur, boulimique est insatiable, sans cesse sur plusieurs projets simultanés.Le résultat est déconcertant, et sera, une fois encore, très mal accueilli. Welles opte pour un film qui s’assume totalement comme une adaptation. L’aspect théâtral des décors peints ou en rochers peints, les costumes expressionnistes (dont des couronnes presque grotesques, l’une évoquant la statue de la Liberté…) et la langue caverneuse accentuée par l’accent écossais favorisent une certaine distanciation, et la prise en compte de caractères légendaires, voire primitifs, du texte adapté.Car Welles ne s’en cache pas : il souhaite extraire de sa pièce toute la barbarie et l’animalité qu’elle dépeint chez l’homme. Cette imagerie presque médiévale renvoie à ce qu’on pourra trouver dans "Le Septième sceau" de Bergman, une autre fable fondatrice sur les grandes questions humaines. Ici, l’artificialité des décors, la solennité de la diction et l’hiératisme généralisé sont autant de signes pour évoquer l’écrasement des individus face à des enjeux qui les dépassent : les prophéties, le pouvoir, la convoitise et la paranoïa de ceux qui veulent conserver ce qu’ils ont acquis de manière indue.L’expérience est éprouvante, comme l’est le parcours du héros éponyme : à l’inverse de Sir Laurence Olivier, qui présentait la même année, au festival de Venise, son "Hamlet", Welles ne fait pas dans l’admiration littéraire. L’hystérie croissante des personnages, les séquences presque hallucinatoires des sorcières donnent à voir un monde surnaturel et angoissant. Il y manque peut-être tout de même cette incarnation des êtres, cette chair individuelle qui donnerait à ce souffle glacial des tonalités plus individuelles : il faudra attendre "Othello" pour que s’exprime toute cette ampleur, ou encore qu’un Japonais s’en empare, en la personne de Kurosawa et de son noir et magnifique "Château de l’araignée".La version de 85 minutes remontée et en anglais offerte sur le second Blu ray ne démérite pas car Welles a su se jouer des contraintes imposées par les producteurs pour faire un montage plus nerveux. Mais je pense que la version originale de 107 minutes et en écossais du premier disque a une force supérieure, celle voulu par le réalisateur. Les minutes d'écran noir au début et à la fin, accompagnées de la musique, ajoutent à l'adaptation une audace et une singularité résistant aux clichés.
G**O
Film ottimo, peccato che il DVD non abbia i sottotitoli in inglese
E' un film fondamentale nella storia del cinema, e di Shakespeare al cinema in particolare. Nonostante sia stato fatto settanta anni fa, è ancora molto interessante anche per gli aspetti grafici. Unico difetto del DVD, che non abbia anche i sottotitoli in inglese
M**.
Welles difettoso☹️
Uno dei migliori adattamenti Shakespiriani interpretazione di Welles al massimo livello peccato non si vede la versione completa in inglese(si blocca nel menù di interfaccia)...la motivazione delle 3stelle!!!
Trustpilot
2 weeks ago
2 weeks ago